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Elisa Bes Coaching
Qui suis-je ?

Qui suis-je ?

Qui suis-je ?

En général, quand on pense « coach », on pense « superficiel ».

On pense « pensée positive » mais plutôt en faisant la grimace. Et vous avez raison, parce que la soit-disant « pensée positive », c’est la moitié du temps pour enrober de sucre quelque chose qui n’est pas du tout positif. On appelle ça du court-circuitage émotionnel.

On pense probablement à quelqu’un qui n’est là que pour s’adresser à votre mental et mettre un « coup de peinture » destiné à faire avant tout illusion et à être joli à l’extérieur (alerte filtres Instagram et toasts à l’avocat !)

On pense peut-être « il faut souffrir pour y arriver, c’est la seule solution ».

Je suis à l’opposé de tout ça.

  • J’ai 11 ans d’expérience personnelle avec la dépression (et probablement 35 ans d’expérience avec l’anxiété, haha).
  • On travaille en profondeur, on va toucher des choses difficiles et potentiellement lourdes. Toujours avec beaucoup de douceur et de compassion.
  • Pas de réponses toutes faites, on recherche votre « vérité intérieure » parce qu’il n’y a qu’en la suivant que vous ressentirez votre parcours comme cohérent, peu importe le nombre de bosses et de creux sur le parcours !
  • Pas de comparaison à un modèle pré-établi. J’ai l’habitude de travailler avec des client(e)s neuro-atypiques, ayant des douleurs ou maladies chroniques rendant impossible le modèle traditionnel de « succès ».
  • Les peurs, c’est des tensions. Si on s’occupe de la cause de ces tensions, les peurs vont se biodégrader d’elles-mêmes. Pas de brutalité psychologique où on s’entraîne à se « jeter émotionnellement sous un bus » pour soit-disant devenir plus fort(e). Vous l’aurez deviné… ça ne marche pas.
  • Une coach 100% authentique (garanti, parce que faire autrement m’épuise tout simplement) qui vous encourage à l’être aussi. D’ailleurs, vous avez noté la blague sur les toasts à l’avocat en haut de la page ?

J’ai grandi dans un minuscule village en Auvergne avec une maman institutrice et un papa qui dirigeait l’antenne locale d’une association défendant les droit des personnes ayant un handicap moteur. Autant dire que c’est un contexte qui vous éveille aux difficultés que l’on peut rencontrer dans une vie. Dans leur travail, mes parents étaient tous les jours confrontés aux dégâts de la culture de la performance et de la comparaison avec les autres.

C’est suite à une grave dépression en 2012, sans aucun traitement médicamenteux qui parvienne à la soulager, et sans vraie piste de transformation de la part d’un(e) professionnel(le) de santé mentale, que j’ai commencé à écouter mon corps, la seule partie de moi-même qui avait l’air de comprendre ce qui se passait, et qui, par des signées ténus me montraient la direction à prendre : lâcher prise.

Dès que j’ai arrêté de me pressuriser avec l’obligation de trouver une solution rapide, des progrès lents mais constants ont commencé d’apparaître.

Moi qui étais extrêmement cérébrale, j’ai réalisé à quel point les autres dimensions de nous-même étaient ignorées par notre mode de vie et nos professionnels de santé, la plupart du temps. On se guide avec des modèles, des recettes toutes faites, sans apprendre à nos enfants, nos élèves, nos étudiants, nos patients à trouver et à suivre la seule boussole qui devrait diriger leur vie : eux(elles)-mêmes.

Changer « à l’extérieur » (poser des limites, s’habiller différemment, agir différemment, dire « non »), si l’on ne change pas à un niveau profond, ça reste une couche de peinture sur une façade, pendant que la maçonnerie en-dessous continue probablement de s’effriter. Ça peut même nous donner instantanément le syndrome de l’imposteur, à cause de la dissonance cognitive entre ce qu’on SENT et ce qu’on FAIT. Et ça, il n’y a pas grand-monde qui va vous le dire, parce que ce n’est pas très « commercial ».

Si vous voulez vous (re)construire de l’intérieur vers l’extérieur, vous êtes au bon endroit !

NB : je ne suis pas médecin, et je ne pratique pas la médecine. Le coaching ne sert pas à remplacer un suivi médical si vous en avez besoin. Dans le coaching, quand on parle de guérison, on parle d’auto-guérison, c’est à dire que vous êtes la personne qui fait le travail. Je suis là pour vous montrer comment, vous aider à reconnaître si ça va dans le bon sens par rapport à vos critères, et vous donner les outils pour y arriver.